BEM 2024 en Algérie : la date de la correction des copies dévoilée
Le ministre de l’Éducation nationale, Abdelhakim Belabed, a levé le voile sur la date de correction des copies des épreuves du BEM 2024 au niveau des centres dédiés à cette opération en Algérie.
C’est le jour J ! Ce lundi 3 juin 2024, plus de 800 000 candidats à travers le pays ont rejoint les centres d’examen pour passer l’épreuve Brevet d’enseignement moyen (BEM) en Algérie. Les épreuves s’étaleront sur une période de trois (3) jours. Elles se poursuivront donc jusqu’au 5 juin prochain.
En effet, le ministre de l’Éducation nationale, Abdelhakim Belabed, a donné le coup d’envoi de l’examen depuis la wilaya d’El Tarf. Dans une déclaration à la presse, il a mis en avant les moyens mis en place par son département afin de réussir l’examen de cette année. Il a évoqué plusieurs dossiers relatifs à l’épreuve du BEM, notamment la date du début de correction des copies.
À ce propos, le ministre a fait savoir que l’opération débutera donc une semaine après la fin du dernier examen de fin de cycle secondaire. Selon le premier responsable du secteur, elle aura lieu à compter du mardi 11 juin prochain.
Belabed évoque le phénomène de tricherie dans les examens
Dans son allocution, le ministre a également affirmé que le phénomène de la triche a diminué récemment grâce aux mesures strictes mises en place par le gouvernement. Dans ce contexte, il a souligné que les chiffres sont en forte baisse et que le phénomène a considérablement reculé en raison des mesures adoptées par l’État et de la loi stricte promulguée en 2020.
Par ailleurs, il a assuré que le phénomène en question est en voie de disparition dans le domaine de l’éducation. Il a aussi révélé que les mesures prises étaient nécessaires pour protéger l’examen.
En outre, il a assuré que l’État surveille de près ces individus ou toute autre personne qui menace la sécurité et l’intégrité des examens. Il a particulièrement noté qu’auparavant, les élèves cherchaient les sujets d’examen sur les réseaux sociaux et les sites Web. Et qu’ils n’étaient pas en mesure de passer l’examen à cause de sujets falsifiés.
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