Variole du singe : un chercheur algérien de l’Université Columbia à New-York contredit l’OMS
Le chercheur algérien de l’Université Columbia, Pr Hakim Djaballah, doute du bien-fondé de l’approche de l’OMS concernant la variole du singe.
Pr Hakim Djaballah, éminent virologue algérien et chercheur en oncologie et vieillissement à l’Université Columbia dans l’État de New-York aux États-Unis, diverge totalement de la vision adoptée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) vis-à-vis de la variole du singe.
Dans un entretien accordé à Radio Sétif ce 13 septembre 2024, le chercheur algérien a fortement contesté la classification de la variole du singe par l’OMS comme « maladie mortelle ».
« J’ignore les véritables raisons qui incitent l’Organisation mondiale de la santé à classer la variole du singe comme une épidémie mortelle », s’exclame le chercheur algérien et expert en virologie.
Par la suite, Pr Hakim Djaballah persiste et signe que la variole du singe n’est pas responsable des décès que les statistiques présentées, et qu’ils jugent incorrectes, lui prêtent.
Si l’on croit le chercheur algérien, les symptômes de la variole du singe se résument à de la fièvre, de la fatigue et des tumeurs cutanées qui disparaissent avec le temps. Ces dernières sont donc, d’après le virologue, bénignes.
Le scientifique affirme alors que beaucoup de ce qu’on entend dire aujourd’hui sur cette pathologie dénote de l’exagération. Selon lui, on dramatise le phénomène, en plus, on le fait délibérément.
Des labos jouent avec les épidémies, selon Pr Hakim Djaballah
Le professeur assure que l’Algérie est carrément à l’abri de la propagation de ce virus. Il pense que c’est toute la région qui s’en trouve éloignée. On croit comprendre de ses propos que la variole du singe ne peut se déplacer jusque dans notre pays indépendamment de toute volonté humaine.
L’intervenant sur les ondes de la chaîne radio locale estime que l’apparition croissante des épidémies est le résultat de manigances conduites dans les laboratoires de puissances mondiales, pour faire pression sur d’autres puissances dans le cadre de tensions géopolitiques.
En ce qui concerne les causes de la variole du singe, Pr Djaballah les attribue au fait d’approcher les animaux sauvages et de consommer leur chair sans protocole de santé adéquat pour prévenir les risques.